Grand opening, up to 15% off all items. Only 3 days left

Investissement immobilier : comment faire financer ses SCPI à crédit

Souscrire des parts de sociétés civiles de placement immobilier (SCPI), c’est bien. Investir dans des SCPI en ayant recours au crédit, c’est encore mieux. “L’argent coûte 2%, les SCPI rapportent 5%”, constate Jean-Marc Peter, directeur général de Sofidy et invité du “Grand rendez-vous de l’épargne” (Capital / Radio Patrimoine). Mais comment obtenir ces financements, à des taux historiquement bas, et ainsi profiter de l’effet de levier pour maximiser la rentabilité de votre investissement ? Plusieurs solutions existent, selon Paul Bourdois, le cofondateur de la plateforme de distribution France SCPI interrogé dans la séquence “Reportage” de notre émission. L’expert rappelle qu’il y a quelques années encore, un acteur - le Crédit foncier - “finançait en architecture ouverte quasiment toutes les SCPI”. Mais ce dernier a cessé toutes ses activités en 2019. Fort heureusement, d’autres acteurs ont pris le relais : les banques régionales et les acteurs du crédit à la consommation.

>> Notre service - Pour vous aider à choisir les meilleures SCPI, bénéficiez de conseils d’experts gratuits grâce à notre partenaire

Investissement immobilier : comment faire financer ses SCPI à crédit

Mais comment, concrètement, obtenir ce financement ? Sachez tout d’abord que si ces établissements vous octroient un prêt dans la plupart des cas, “quelques acteurs (SCPI) ne sont pas élus en raison de leur exposition géographique ou de la typologie de leurs actifs”, prévient Paul Bourdois. Ainsi, des SCPI intégralement investies à l’étranger ou sur des actifs jugés trop risqués pourraient ne pas avoir les faveurs du prêteur. Autre facteur à prendre en compte, le mode de financement : crédit immobilier ou crédit conso ? Tout dépendra de votre intermédiaire, une banque régionale (Crédit agricole, Banque populaire - Caisse d’épargne, Crédit mutuel) vous proposera un crédit immobilier classique quand un établissement spécialisé dans le crédit à la consommation vous offrira un crédit affecté. Mais n’ayez pas peur de souscrire un tel prêt, conseille Paul Bourdois : “Forcément, un taux de crédit conso est plus élevé qu’un taux de crédit classique. Mais lorsque l’on regarde un crédit conso, il n’y a pas de frais de courtage, de frais de banque, de frais de gestion ou d’assurance obligatoire. Et la réponse est extrêmement rapide, énumère-t-il. Sur 15 ans, un crédit à la consommation est plus rentable qu’un crédit immobilier.” Et ce, même si le taux du crédit conso affecté dépasse celui du prêt classique de 1 point, à 2,2% contre 1,2% ou 1,3% respectivement.

>> A lire aussi - SCPI : les nouveaux indicateurs de performance en vigueur en 2022

Bien évidemment, pour négocier les meilleures conditions, vous devez impérativement faire jouer la concurrence, par exemple en contactant des courtiers en crédits. Mais pas seulement, insiste le cofondateur de France SCPI : “C’est toujours bon d’aller voir sa banque et lui demander de faire mieux.” Et si vous ne trouvez pas votre bonheur, n’hésitez pas à solliciter directement un conseiller en gestion de patrimoine (CGP). Celui-ci a en effet accès à ses propres canaux de souscription, comme Sofidy Financement, filiale de la société de gestion Sofidy qui propose à cette clientèle des accords avec plusieurs banques régionales et instituts de crédit à la consommation. “A chaque porteur de parts de structurer le financement avec son CGP”, confirme Benjamin Le Baut, directeur général d’Alderan, également invité du “Grand rendez-vous de l’épargne”.

>> A lire aussi - Pourquoi la fiscalité des SCPI investies à l’étranger est plus intéressante

Related Articles

10 начина да сте в безопасност, когато живеете сами

10 начина да сте в безопасност, когато живеете сами

Hôtels, restaurants : les pourboires payés par carte bancaire bientôt défiscalisés

Hôtels, restaurants : les pourboires payés par carte bancaire bientôt défiscalisés

Comment bien dessiner une rose : nos méthodes

Comment bien dessiner une rose : nos méthodes

Les travailleurs belges vont-ils démissionner?

Les travailleurs belges vont-ils démissionner?